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Automne/Hiver 2020 – 2021: Que faut-il retenir de la Fashion Week Masculine ?

Date : 20 janvier 2020
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Alors que la Fashion Week consacrée à ce que l’homme portera l’hiver prochain se terminait hier, revenons sur cette semaine très couture.

DES SETS AUDACIEUX

Que ce soit chez Louis Vuitton où Virgil Abloh nous présente un décor sous forme de ciel nuageux surréaliste ou bien chez Ami Paris où Alexandre Mattiussi s’empare de l’atmosphère Dandy du Trianon pour nous offrir un véritable show, nous plongeons dans le monde des designers où le spectaculaire est un leitmotiv indémodable.

50 SHADES OF BEIGE

Balmain nous l’a présenté, Jacquemus nous l’a confirmé : le beige sera la couleur star de la saison, que ce soit au masculin ou au féminin. Olivier Rousteing nous présente une silhouette fluide, douce et drapée qui se manifeste à travers une palette de couleurs inspirée du désert saharien alors que Simon Porte Jacquemus, quant à lui, nous introduit son soleil si cher en hiver au fil d’une série de pièces monochromes et minimalistes composées de cargos notamment.

HED MAYNAR : LE CRÉATEUR À SUIVRE

Grand gagnant du Prix Karl Lagerfeld au LVMH Prize 2019, le designer israélien s’apprête à présenter son tout premier défilé au calendrier officiel de la Fashion Week homme de Paris. Pour son dernier défilé printemps-été 2020, Hed Mayner proposait un esprit indéniablement intemporel plein de spiritualité à travers une palette de silhouettes aux couleurs sablées, de pantalons ultra larges et de djellabas revisitées façon chemises… une chose est sûre, nous n’avons pas terminer de parler de lui.

L’HOMMAGE DE KIM JONES À JUDY BLAME ET LE RETOUR DU TAILORING

Cette saison, Kim Jones revisite les archives à travers le come-back du tailoring. En effet, le directeur artistique adapte les codes classiques du tailoring aux aspirations d’une nouvelle génération, au registre tout aussi bien genderless que streetwear engendrant ainsi des silhouettes effrontées mais précieuses, iconoclastes et punk à souhait, petit clin d’œil nostalgique à son ami Judy Blame, disparu en 2018. C’est ainsi qu’il déclinait la toile de Jouy, emblématique de la maison Dior, en « toile de Judy ».

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