À la Galerie Romero Paprocki, l’exposition « Operire #10 » métamorphose la peinture en architecture mouvante. Il y a, dès l’entrée, cette impression délicieuse d’être en dehors du monde, ou plutôt en dedans — dans un monde réfracté, traversé de lueurs et de silences. Sous l’impulsion de l’artiste Justin Weiler, la Galerie Romero Paprocki se fait matrice. Un espace qui ne s’observe pas, mais se traverse. Mieux encore : qui nous traverse.