Simon Porte Jacquemus franchit une nouvelle étape en annonçant son arrivée sur le marché de la beauté. Pour concrétiser cette ambition, il s’associe au géant des cosmétiques L’Oréal dans le cadre d’un partenariat exclusif, incluant une prise de participation minoritaire.
Quand l’âme d’Istanbul se fait parfum : voyage dans l’univers olfactif de Nishane
Il est des parfums qui se contentent d’habiller la peau. Et puis, il y a ceux qui racontent des histoires. Dès la première vaporisation, ils ouvrent une porte invisible sur un ailleurs. C’est exactement ce que proposent les parfums de luxe Nishane, maison indépendante née à Istanbul. Là où l’Orient frôle l’Occident, où les échos du Bosphore résonnent entre passé et avenir, chaque fragrance devient un poème invisible déposé sur la peau.
Il est des parfums qui se contentent d’habiller la peau. Et puis, il y a ceux qui racontent des histoires. Dès la première vaporisation, ils ouvrent une porte invisible sur un ailleurs. C’est exactement ce que proposent les parfums de luxe Nishane, maison indépendante née à Istanbul. Là où l’Orient frôle l’Occident, où les échos du Bosphore résonnent entre passé et avenir, chaque fragrance devient un poème invisible déposé sur la peau.
Istanbul comme source d’inspiration
À la croisée des continents, Istanbul vibre d’une richesse culturelle rare : langues, musiques, cuisines et traditions s’y entremêlent depuis des siècles. C’est dans cette énergie bouillonnante que Nishane puise son essence, transformant la ville en un langage olfactif singulier. Chaque flacon est une déclaration, un hommage discret à une émotion ou un souvenir enfoui.
Des compositions intenses et nuancées
Les créations de la maison Nishane ne cherchent pas le consensus. Elles osent. Une fragrance vous enveloppe dans des notes de figue tiède et de lait d’amande, évoquant une sieste d’été sous les platanes d’Asie Mineure. Une autre surprend avec des accords sombres d’encens et de bois brûlé, comme un amour oublié dans une église orthodoxe. Chaque parfum devient une scène, une parenthèse sensorielle.
Nishane se distingue aussi par ses extraits de parfum à haute concentration. L’intensité est là, presque mystique, mais toujours contrebalancée par une exécution fine. On devine la précision du nez qui ose marier yuzu et cuir, tubéreuse et mousse de chêne. Ici, les contrastes s’embrassent, les oppositions deviennent harmonies.
Des récits en flacons
Certains parfums font écho aux contes soufis, d’autres à la calligraphie orientale. Les noms eux-mêmes – Hacivat, Ani, Hundred Silent Ways – évoquent des figures, des lieux, des sentiments. On se perd volontiers dans leur langage, comme dans les allées d’un bazar stambouliote.
Ce qui frappe, c’est cette capacité à faire résonner l’intime à travers l’ailleurs. Une note de cardamome, un souffle de musc blanc, un mot turc… et c’est une mémoire qui s’éveille. Ces parfums ne parlent pas seulement de leur créateur, ils nous parlent de nous.
Une invitation au voyage intérieur
Porter du Nishane, ce n’est pas juste choisir une fragrance. C’est porter une voix : celle d’un Orient moderne, en mouvement, où l’art se vit à fleur de peau. C’est aussi embrasser une idée de la beauté à la fois libre, profonde et vibrante.
Chaque flacon invite au voyage. Pas celui des cartes postales, mais celui des sensations, des silences et des souvenirs. Une traversée de l’être, portée par les vents d’Anatolie.
