Miu Miu Reads : La littérature célébrée à la Bibliothèque nationale de France

En cette fin de juin baignée de lumière, Miu Miu donne rendez-vous aux esprits curieux et aux esthètes du verbe au cœur de Paris, dans l’écrin feutré de la Bibliothèque nationale de France – site Richelieu. Pour sa seconde édition de Miu Miu Summer Reads, la maison italienne déploie une nouvelle fois son imaginaire au croisement de la mode, de la pensée et de la transmission.

Dans une époque où les maisons de luxe affirment de plus en plus leur ancrage culturel, Miu Miu cultive la différence avec douceur. Ici, pas de podium ni de vitrines flamboyantes, mais des livres offerts, des pages à tourner, des héroïnes à redécouvrir. Le 27 et le 28 juin, la marque invite le grand public à pénétrer dans un espace éphémère, ouvert à toutes et tous, pour célébrer la puissance silencieuse de la littérature féminine.

Deux voix s’élèvent cette saison : Simone de Beauvoir et Fumiko Enchi, deux autrices majeures du XXe siècle, réunies sous la bannière d’un féminisme sensible, intellectuel et incarné. Leurs œuvres — Les Inséparables et The Waiting Years — seront offertes dans des éditions limitées, revisitées dans les codes esthétiques de la maison Miu Miu. Papier, typographie, accessoires de lecture… chaque détail a été pensé comme une extension textile de l’univers de la marque. Le lecteur repartira avec un ex-libris exclusif, un marque-page délicatement illustré, ou encore une pince de lecture siglée, autant de petits objets précieux qui transforment l’acte de lire en rituel de style.

Plus qu’un simple événement, Miu Miu Summer Reads s’inscrit dans un parcours international — de Paris à Milan, en passant par Pékin, Osaka ou Hong Kong — où la littérature devient un fil invisible, tissé entre les continents, les cultures et les générations.

Là où d’autres cherchent à séduire par le spectaculaire, Miu Miu choisit l’intime. Dans les salles feutrées de la BnF, c’est un luxe discret, introspectif et généreux qui se murmure. Une déclaration d’amour à celles qui écrivent, à celles qui lisent, à celles qui pensent.

Et si, cet été, le style se lisait entre les lignes ?