Après l’annonce du départ d’Olivier Rousteing à la tête de la direction artistique de Balmain, la maison annonce avoir désigné Antonin Tron dans cette fonction majeure.
Pantone 2026 : Cloud Dancer devient la couleur de l’année
Dans un monde où tout vacille, Pantone élit pour 2026 un blanc aérien, silencieux et profondément symbolique. Cloud Dancer, voile de sérénité et page blanche à réinventer, s’annonce comme la teinte-refuge d’une année placée sous le signe de la paix, de la créativité et du renouveau.

Il y a des couleurs qui ne se contentent pas de peindre une surface : elles dessinent un horizon. En choisissant Cloud Dancer — référence 11-4201 — comme couleur de l’année 2026, Pantone inscrit un geste presque spirituel dans le paysage chromatique contemporain. Après le Mocha Mousse, teinte chaude et réconfortante élue en 2025, voici que surgit un blanc délicat, vaporeux, presque suspendu. Un blanc qui n’efface pas : il apaise.

Dans un monde bousculé, Pantone évoque une “ode à la tranquillité et à la paix”, un retour à ce qui enveloppe, calme, recentre. Cloud Dancer ne se vit pas comme un non-couleur : il respire. Il évoque le bruissement léger d’un rideau au matin, la promesse d’un silence apaisé, la douceur d’une neige intacte. Et surtout, il porte en lui la puissance d’une page blanche — celle où l’on recommence, où l’on imagine, où l’on ose. Un terrain fertile pour la créativité, l’innovation et l’introspection.

Parce qu’il est à la fois neutre et vibrant, ce blanc éthéré possède une polyvalence rare. Il s’accorde avec les pastels qu’il magnifie, renforce les teintes franches qu’il accompagne et dialogue en douceur avec les matériaux naturels. Déjà, mode, cosmétique et design intérieur s’apprêtent à l’adopter comme un fil conducteur, un écrin silencieux où tout peut éclore. Mandarin Oriental a même dévoilé des collaborations exclusives autour de cette nuance, où pâtisseries, installations et expériences immersives viendront explorer la poésie de Cloud Dancer.
Adopter cette couleur en 2026, c’est choisir plus qu’une tendance : c’est embrasser un souffle. C’est accepter l’idée que le luxe peut être un murmure, que la modernité peut naître du dépouillement, et que la beauté se cache parfois dans l’infime nuance d’un blanc qui danse.



