Le 26 août prochain pourrait marquer une étape historique dans l’exploration spatiale privée. La mission Polaris Dawn, orchestrée par SpaceX fondé par Elon Musk et financée par le milliardaire Jared Isaacman, est sur le point de décoller depuis le Kennedy Space Center de la NASA en Floride.
Hot Spot Luxe : Les clubs où être vu cet hiver
Bien qu’il faille attendre les beaux jours pour retrouver les roof top et les péniches, voici une liste non-exhaustive des clubs où se déhancher cet hiver.
Chez Lulu
C’est au coeur de la rue Jean-Jacques Rousseau que se distingue le club le plus sensuel de la capitale. Les neons rouges de la devanture illuminent nos visages et nous entendons Donna Summer murmurer son célèbre I feel love. Les marches rouges nous mènent vers les seventies où la moquettes aux milles motifs nous invitent dans un univers où l’érotisme est à son paroxysme. Entre personnages sadomasochistes et danseuses épicuriennes, le ton est donné. Bien que la piste semble nous envouter, Lulu nous propose milles et une surprises avant de se fondre entre les silhouettes endiablées. En effet, ce qui pourrait être un simple diner n’est autre qu’une farandole de références voluptueuses. Le barman vous propose un choix éclectiques de cocktails aux noms provocateurs tels que le « Saint des Seins » ou le « Si Frais Dit ». Que ce soit en préliminaires, plaisirs solitaires ou finitions, vous ne serez qu’envouté par la cuisine du chef. Entre fusion food et exotisme sur les papilles, nous en prenons plein la vue, et pas seulement au sens figuré! La piste de danse est occupée par des danseuses charnelles qui nous offrent un show aussi sensuel qu’érotique, de quoi nous donner envie de mêler nos corps au leur jusqu’au bout de la nuit.
La Casbah
Tirant son nom de l’arabe désignant le palais d’un souverain, la Casbah nous délivre une ode aux racines méditerranéennes dont elle puise ses ressources. Plus qu’un mythique club des années 90′ ayant fait sa réouverture en 2020, c’est un temple intimiste où la piste de danse revisite à sa manière le emblématique hammam marocain. Les accent orientaux mis au gout du jour nous convient à un aller simple vers le Maghreb, avec sa Couscous Party du mercredi ou encore le bistro souk du jeudi au samedi. Le hotspot n’est, pour notre plus grand plaisir, pas qu’un rendez-vous gastronomique puisque son club situé au sous sol est l’un des plus prisés des after show de la Fashion week parisienne. En effet, entre boules à facettes et vitraux marocains, le directeur artistique Benjamin Belin nous propose une ambiance à mi-chemin entre le studio 54 et le Palace, garantissant une soirée explosive pour au moins mille et une nuits, et pourquoi pas plus si affinité.
Crédits: Victoire Le Tarn Crédits: Victoire Le Tarn Crédits: Victoire Le Tarn
Réservations au 01 88 33 41 78
Du Mercredi au Samedi
Chez Castel
Véritable institution des nuits parisiennes, chez Castel est le temple des noctambules de la rive gauche. Sa façade écarlate reconnaissable entre toutes et la célèbre Cathy nous accueillent si nous sommes évidemment en possession de notre carte de membre ou si nous sommes en bonne compagnie. La porte s’entrouvre et nous pénétrons dans un lieu qui nous paraît familier. Un premier piano pour les aficionados de musique se situe à notre gauche, mais que ça n’inquiète pas ces derniers qui sont fumeurs, car un autre, celui de Serge Gainsbourg, se trouve dans le fumoir à l’étage au dessous… La moquette aux motifs érotiques nous mènent vers un petit salon où les langues se délient sous l’influence des cocktails du bar, et où les secrets se fondent entre les canapés en velours: attention les murs ont des oreilles. La piste de danse qui est en bas d’un escalier biscornu est la même que foulaient jadis Catherine Deneuve, Mick Jagger, ou encore Yves Saint Laurent. En effet, l’esprit du fondateur réside entre les murs, nous sommes à l’abris des regard et nous nous amusons sans concessions.
Réservations sur 01 40 51 52 80
Du Mardi au Samedi
Le Silencio
David Lynch, artiste émérite, s’associe en 2011 à l’équipe du Social Club afin d’imaginer un club aux multiples facettes : le Silencio. À la fois salle de concert, cinéma et bibliothèque d’art intime, le Silencio est surtout l’un des clubs les plus select de la capitale. Il est minuit à Paris dans les anciens locaux de l’Aurore et le talon des escarpins se fait entendre dans les escaliers. Lorsque nous entrons pour la première fois, ils semblent interminables, telle la chute d’Alice au pays des Merveilles. Des regards nous accompagnent lors de notre voyage, ce sont ceux des portraits de l’exposition éphémère « Hidden Fashion portrait ». Nous voulons nous arrêter mais la musique envoute notre esprit et nous ne voulons plus qu’une chose : trouver sa source. L’expression « ce qui se passe ici reste ici » n’a jamais été aussi appropriée. Presque pas de réseau, les voutes en feuilles d’or nous abritent de la routine. Les lumières tamisées, le bar aux structures métalliques, et la piste de danse nous entrainent aux côtés de Betty Helms. Le fumoir aux longues tiges de fer accueille les confidences, la piste, les corps déchaînés et le salon, les esprits énigmatiques. Le Silencio, c’est le club « hype » par excellence. Sur le modèle de la SoHo House, l’entrée donnant sur la rue de Montmartre est censée être réservée aux membres étant ainsi invités à des évènements comme des projections cinématographiques, des dégustations, des concerts…Cependant, pour les « simples mortels », l’entrée après minuit est possible mais relativement sélective. La fréquentation est à la fois chic, cool et branchée. La bande son est dansante, globalement electro cool et un peu funk voire rock’n’roll sur la fin de soirée. Les cocktails sont délicieux. Demander aux barmen de concocter quelque chose de leur cru, ils adorent ça ! Venir pour voir et être vu, ou au contraire passer une soirée entre amis, mais sans vouloir rencontrer qui que ce soit. Connaitre, mais pas rencontrer : c’est l’esprit Silencio.