Rencontre avec Freja Settergren, la co-fondatrice de Rent Club, cette application de location de vêtements parisienne aux ambitions bien définies.
Maison Lacroix : Comment se développe t-elle depuis le départ de Christian Lacroix?
Vous voulez savoir comment la marque Christian Lacroix n’a pas coulé suite au départ de son créateur Christian Lacroix ? Nous aussi et c’est ce à quoi nous répondons ici, comment le groupe Américain Falic a maintenu le niveau de la marque et même le relancer !
C’est depuis 2010 que Christian Lacroix a quitté sa propre Maison. La revente de celle-ci à Falic par le groupe LVMH n’a pas permis à la marque de se reposer sur ses acquis, mais au contraire, ils ont dû redoubler d’efforts afin de garder la marque historique sous les feux des projecteurs. C’est le groupe Américain Falic, qui a racheté la marque, qui est déterminé plus que jamais à représenter la marque mais aussi la dynamiser depuis ces 6 années.Ce n’est pas sans complication qu’à été réalisé cette remontée de la marque sans son créateur et qui plus est alors que celui-ci reste dans le même secteur d’activité, celui de la décoration et de l’art de vivre. C’est donc grâce à plusieurs nouvelles licences, que le PDG de la marque, Nicolas Topiol a choisi de relancer la Maison Christian Lacroix. Pour ce faire, la maison est à présent présente dans l’univers du mobilier, des accessoires, de la décoration mais aussi des cadeaux de naissance. Ces efforts portent en effet leurs fruits, puisqu’ils permettent de maintenir des résultats corrects chiffrant entre 180 et 200 millions d’euros de ventes par an.
La bonne nouvelle est que la Maison Lacroix est de retour sur le marché du luxe grâce à son directeur artistique Sacha Walckhoff ! Mais pas seulement en France, on peut retrouver les créations de la marque dans les grands magasins du monde entier, tel que le Bon marché, Liberty, Harrods, Neiman Marcus ou encore Lane Crawford. C’est le design de nouveau produits qui à séduits les grandes enseignes mais aussi ses clients et tenez-vous bien, cela grâce à de la vaisselle, des tissus d’ameublement, du papier peint, mais également des coque de smartphones. Le directeur artistique n’a pas laissé tombé l’image de la marque puisqu’il s’est inspiré des motifs de décoration des années 1950, il n’hésite pas à jouer avec des effets trompe l’œil mais aussi des impressions 3D.