À la Galerie Romero Paprocki, l’exposition « Operire #10 » métamorphose la peinture en architecture mouvante. Il y a, dès l’entrée, cette impression délicieuse d’être en dehors du monde, ou plutôt en dedans — dans un monde réfracté, traversé de lueurs et de silences. Sous l’impulsion de l’artiste Justin Weiler, la Galerie Romero Paprocki se fait matrice. Un espace qui ne s’observe pas, mais se traverse. Mieux encore : qui nous traverse.

Ce lundi 5 mai, le MET Gala 2025 a une fois encore élevé les marches du Metropolitan Museum of Art au rang de scène magistrale de la création contemporaine. Placée sous le thème “Superfine: Tailoring Black Style”, cette édition rendait hommage à l’excellence du style noir et à l’art du tailoring dans toute sa sophistication. Si les silhouettes ont subjugué par leur audace et leur raffinement, un autre détail, plus discret mais tout aussi saisissant, a retenu l’attention : les garde-temps Audemars Piguet, véritables joyaux horlogers, subtilement portées par une sélection de figures emblématiques au style affirmé.

Chez Audemars Piguet, chaque garde-temps raconte une histoire de maîtrise et d’audace. La nouvelle Royal Oak Offshore Chronographe Automatique (Ref. 26238CD.OO.1300CD.01) s’inscrit dans cette lignée, mais avec un souffle nouveau : celui d’une icône qui, tout en rendant hommage à ses racines, s’ouvre à des territoires esthétiques inédits.

Il aura fallu du temps pour que les grands noms du luxe prennent la mesure de l’enjeu. Longtemps reléguée au second plan des préoccupations environnementales, la question de l’eau s’impose désormais comme un levier clé de la transformation du secteur. Kering le reconnaît : l’heure n’est plus simplement à la réduction des impacts, mais à une logique de régénération active.

Il est des lieux où le temps s’arrête. À la Villa d’Este, les camélias flirtent avec les glycines, les citronniers s’épanouissent en silence et les échos du passé résonnent encore sous les arcades. C’est ici, entre ciel et eau, que Chanel a choisi de dérouler son ultime collection croisière avant le passage de flambeau tant attendu. Et comme un dernier souffle d’été, la maison a livré une ode à l’élégance en clair-obscur, toute en légèreté, en clin d’œil à la dolce vita et au chic solaire de la Riviera française.

Sur la grande île d’Hawaï, il est un lieu où l’architecture s’efface pour laisser parler le vent, la pierre, le bois. Une retraite sculptée par le paysage, pensée comme une respiration. Bienvenue à Hale Mau’u, maison-refuge imaginée par Walker Warner Architects et Catherine Kwong Design — un dialogue subtil entre nature et design, ancrage et élévation.

Nichée dans les collines paisibles d’Ericeira, une ville côtière réputée pour sa beauté naturelle, Immerso redéfinit l’expérience des retraites de luxe. Ce n’est pas seulement un hôtel ; c’est un voyage sensoriel où les invités sont invités à faire une pause, respirer et se reconnecter à la nature. Des vues imprenables sur l’océan à son design durable, Immerso vous invite à pénétrer dans un monde où le rythme ralentit et chaque détail est pensé en harmonie avec l’environnement qui l’entoure.

Beauté, bien-être, soin du corps et de l’esprit : quand l’excellence s’invite dans les moindres détails de nos routines, le quotidien se transforme en rituel. Des gestes précis, des formules innovantes et des lieux d’exception redéfinissent notre rapport à la beauté. Cheveux, peau, digestion, énergie… À travers ces expériences singulières et inspirantes, c’est une vision globale du bien-être qui se dessine — consciente, sensorielle et résolument moderne.

Il ne cherchait pas ça. Ce qu’il voulait, c’était un petit appartement sur les quais, deux pièces maximum, un abri discret où poser sa guitare entre deux tournées. Mais un jour, son agent immobilier lui souffle : « Ce n’est pas ce que tu veux, mais tu dois le voir. » C’était un hôtel particulier des années 1920, caché dans une allée feutrée du 16ᵉ arrondissement. Une demeure entière, pas un étage. « Non, non, absolument pas », répond Kravitz d’abord. Puis il entre. Et là, évidence : « C’est chez moi. »